Voici 4 pages de l' autre projet en cours, et qui doit, tout comme "Les Postiches", sortir chez Futuropolis.
Pour éviter de me répéter et pour ceux qui veulent en savoir plus, il suffit d'aller sur le label "La communauté" afin de savoir de quoi il en retourne.
9 commentaires:
Tu devrais prendre un peu de liberté avec l'histoire et y ajouter des meurtres et du sexe.
T'inquiète, on y vient après. Il y aura des cochons tués à coups de masse, des poulets lapidés et des canards décapités qui courent encore. Et puis pour ce qui est du sexe, on parlera de la fameuse "libération sexuelle".
Tu vois il faut être patient. C'est ton côté américain: tout, tout de suite.
Non, ce n'est pas mon côté américain, c'est mon côté éjaculateur précoce!
ne t'inquiètes pas mon petit jerry, quand j'ai connu hervé, il avait aussi ce problème.et puis, tranquillement sans meurtres et sans trop parler de sexe ,les choses se sont arrangées pour lui.
il fait le catcheur bien sur ,dessine pour pour lucha bien sur aussi,il est encore jeune,mais ,je te promets, il avance vraiment vers la pleinitude
ps:je trouve vraiment tes photos d'us super
yann
Ce n'est pourtant pas l'image qu'il donne. Il m'a écrit tout à l'heure un mail hystérique tout écrit en capitales.
Merci pour le compliment.
Aha! Pour le mail en capitales, j'avais Salomé dans les bras. J'ai commencé en capitale et j'ai eu la flemme de tout recommencer. Mais c'est vrai que lorsque l'on reçoit un message en capitales, ON A L'IMPRESSION QUE LE MEC SE MET À GUEULER, TOUT D'UN COUP! Alors que non, en fait.
Et c'est vrai aussi pour les photos. Je me demande si c'est juste parce que c'est exotique pour nous, ou si tu es vraiment doué. J'ai des doutes sur la deuxième possibilité...
Pour toi, une rue qui n'est pas en terre doit évidemment paraitre exotique, mais sinon, non, c'est du talent pur.
ben moi, je trouve qu'y a du suspense...j'ai envie de savoir la suite! en tout cas pour les ressemblances physique je vous retrouve bien tous les deux. Vivement qu'elle soit publiée cette BD.
Merci Sandrine. Il n'y a que toi qui me comprend. C'est vrai, parfois, comme tous les génies, je doute...
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