Merci Montarzan. Tu me montreras ta grosse pelleteuse, ce week-end? Cher Aieraspootine, en effet mes moustaches frisottent de fierté assumée. Ça chatouille.
La Colette Veyrinas, j'aimerai pas l'avoir comme prof de musique. L'harmonium ne doit pas rire à la messe d'onze heure.
Conas Veyrilette mise à part, si on parlait de R'n'R. "Joe Strummer : the future is unwritten" : le parfait mode d'emploi à l'usage des apprentis rockstar sur les écrans de ciné depuis hier. Heureusement que Strummer n'est pas mort après Combat Rock, sinon nous n'aurions gardé de lui que l'image d'un sale con prétentieux. La paternité, l'âge et les vestes qu'il s'est prises avec les critiques lors de ses créations post-Clash, lui ont permis de prendre du recul par rapport à lui et son entourage et de nous livrer quelques pensées bien utiles à l'attention des musiciens et autres humains dont l'ego gonfle un peu trop (Je me demande si Manu Chao à vu le film).
Poseur, orgueilleux, égocentriste et j'en passe. Il faut du tempérament pour vivre une vie comme la sienne. Et il aura participé à bousculer le rock pour qu'il ne meurt pas trop vite. Ceux qui ne sont pas joisse n'avaient qu'à l'envoyer se faire foutre.
Quelques infos sur le film : Paul Simonon n'est pas interviewé. Tymon Dogg y est assez présent (archive et interview). Bono (de U2) s'écoute toujours autant parler. Certaines images ne sont pas inédites (extrait de Westway to the world entre autre).
P.S. : A la fin du film, un gussse à applaudi suivi par la moitié de la salle. Ce matin, je ne comprends toujours pas pourquoi. C'est un documentaire, juste la bio d'un mec...
P.S. : Ma seule expérience du Clash en chair et en os se résume au concert du Clash (mark two) au festival Rockscène en 1985 avec un Strummer qui n'avait été capable que de sauter dans l'espace entre scène et public (3 à 5 métres de no man's land sécuritaire) et infoutu de remonter sans l'aide du service d'ordre. A chier. Mais bon, mon état étant passablement altéré par force caramel THCéisé et boissons houblonnées, peut-être que le concert était bien. Les Ramones avaient annulé leur venu à la dernière minute. Sale année pour le punk. Résultat des courses, il ne restait que : Depeche Mode (qui jouait à pousse bouton derrière leur machine), Midnigt Oil, Fixed Up (qui remplaçait les Ramones), Léonard Cohen, The Fuzztones, Spear of Destiny et peut-être d'autres groupes. Et un max de came !
Bon, vous l'aurez compris mes amis. L'homme qui se cache sous le nom mystérieux de Dezertik Marsiann n'est autre que Philippe Manoeuvre. Eh oui, c'est un vieil ami à moi. En tout cas mon philou, merci pour toutes ces informations. Je compte bien aller le voir la semaine prochaine avec un autre pote qui habite dans le coin: Bob Dylan. Salut les kids!
tu pourrai pas faire plusieurs blogs 36 15 pour qu'on s'y retrouve? 36 15 jeune 36 15 vieux 36 15 à moustaches 36 15 je casse du sucre sur mes collègues etc....etc..... Avec entrée obligatoire dans chaque endroit pour pas que chacun essaie de comprendre ce qui est incompréhensible
Cher Dezertik Marsian, C'est rigolo, les Fixed Up, les City Kids (mentionnés sur ton profil) sont des groupes dont je n'ai plus entendu parler depuis le milieu des années 80. J'étais lycéen, à Nantes et j'écoutais alors une émission de radio, le soir, qui passait ces groupes. Je me souviens aussi qu'elle diffusait des concerts enregistés du Faucon Malté à Notre Dame des Monts, fabuleux bar qui n'existe plus. C'était hyper excitant, j'avais l'impression que nous étions une dizaine de personnes à écouter cette émission. Est-il possible M. Dezertik Marsian, que tu étais l'un de ceux-ci ?
Mais oui, mon cher Stéphane! Philippe Manoeuvre écoutait la même radio que toi. Et il allait écluser des litres de bière au Faucon Malté tandis que tu révisais tes leçons (en chantant, comme Sardou) Dis lui Philou, que c'est vrai ce que je dis, dis-lui.
> Steph. Oiry Si l'émission dont tu parles était : - diffusée le lundi soir sur Radio Atlantic ; - animée par un mec qui ne savait pas faire une phrase correcte ; - que ledit mec se faisait surnommer Frenchy (à moins que ce ne soit le nom de l'émisision... ou les 2) ; - que ledit mec était accessoirement "manager" des Flamingos ; - que la technique était assurée par No Future (techno son de chez Melpo si mes souvenirs sont bons) ; - que seuls les groupes français étaient diffusés ; alors oui nous écoutions la même émissions. Par la suite le paysage sonore s'est élargi et il y a eu 1 ou 2 chroniqueuses : Zabo (brune) et ??? (blonde). Elle(s) présentai(en)t des groupes américains (The Del Fuegos, Guadalcanal Diary, Los Lobos...) par ville (genre Athens, Géorgie...).
L'émission était tellement mal branlée qu'on ne pouvait pas imaginer qu'il y ait plus de 10 boutonneux à l'écouter. En fait, j'ai par la suite rencontré beaucoup de personnes qui n'en rataient aucune diffusion. Et pas spécialement des personnes branchées rock français.
En fait il n'y avait pas de style particulier ; si c'était français ça passait dans l'émission. On aura donc découvert Indochine et "L'aventurier" au moins un an avant tout le monde ;). C'était branchaga à l'époque. Les groupes du label Reflex, qualifiés de nouvelle variété à l'époque (Les Bandits de Christine Lidon - qui depuis écrit pour David Halliday entre autre, Les Desaxés, Les Ablettes...), cotoyaient Les Schtauss de Nantes, Les Coronados, Les Olivensteins, Les Dogs de Rouen, Les Thugs d'Angers, Les Nues de Rennes, pleins de groupes de Bordeaux, Oberkampf, Wunderbach, La Souris Déglinguée des trucs keupons à 2 accords... Tous les lundi c'étaient le tour de France du rock.
Ça correspond au tout début de la libéralisation de la bande FM. À l'époque tout était possible. Sur Radio Nantes il y avait une putain d'émission de Hard rock qui avait pour musique de générique la chanson "Rebel rebel" de Bowie. C'était animé par un certain Renaud qui est par la suite passé par divers autres radio et a fini par être très consensuel. Faut bien gagner sa croûte. Au moins grâce à lui j'aurai découvert "Ace of spade" de Motörhead.
Putain mais c'est dingue ! c'est exactement ça ! Frenchy, tous les lundis soirs. Je lui dois absolument tout ! La fois où il a passé Indochine, je m'en souviens trop bien, je n'en croyais pas mes oreilles ! Et Renaud aussi je m'en souviens bien, tu parles ! sur Radio Nantes, il passait des trucs infames genre Asia ! Ah ! ah ! ah !
C'est dingue ! jamais je pensais croiser un jour un mec qui écoutait cette émission toute pourrite.
Et pour peu qu'on énumère la liste des concerts et évènements un tant soit peu (c'est comme ça que ça s'écrit ?) rock'n'roll de cette époque là, et nous découvrirons que nous bûmes des bières dans les mêmes endroits.
Et si tu détestais Dada's Noise je ne t'en voudrais même pas.
Bah, c'est peut-être tout simplement parce que j'ai ensuite bougé sur Strasbourg : peu de chance d'y croiser un auditeur de "Frenchy". Un morceau a continué à me hanter longtemps : "Le vampire a moins de dents mais il peut mordre comme avant" (Gilles Tandy et les Olivensteins). C'était un peu un comme tube, il le passait toute les semaines, je crois bien. Et le générique c'était quoi déjà ?
J'ai emballé Colette Veyrinas en 89 au bal des pompiers sur "Still loving you", alors si vous pouviez avoir un peu d'égards pour ma femme, ça m'arrangerait. On est maintenant mariés et tout se passe bien, alors venez pas foutre votre zone, nous sommes un modèle dans notre région. Merci.
Ça ne me dit rien ce titre des Olivensteins. Je me rappelle de "Fier de ne rien faire" et de "1941 sous l'gouvernement d'Pétain.." des mêmes olibrius mais de vampire, point de souvenir.
PUTAIN, c'était quoi déjà le générique ? C'était pas un gros truc tout naze fait maison ?
J'ai retrouvé le nom de la blonde qui chroniquait. Elle s'appelle (s'appellait) Anne-Aurélie et plus d'un allait s'en jeter un à La Provence pour y jeter un œil.
Le vrai nom de Frenchy, c'était Yannick Pagrismaud. Ça l'est peut-être toujours d'ailleurs. Merci Fredo (pas celui du dessus, un autre) pour l'info.
Désolé si on te snobe Colette, mais c'est sympa les discussions dans la sacristie du Révérend.
On trouve peu de traces sur Internet de cette scène « garage » du milieu des années 80. Oubliés, ces losers qui chantaient un anglais approximatif. La déferlante alternative a recouvert ce terreau pourtant fertile. Un très beau document, ici :
Terrible ce documentaire. Ils ont un putain d'accent dans le coin. On a l'impression que les deschiens font le doublage. Dis-donc le stéphane Saunier c'était un p'tit nerveux.
À ma connaissance, le Yannick Pagrismaud marionettiste n'a rien à voir avec "Frenchy".
Dans la même lignée que le documentaire sur le rock au Havre, il y en a sur Bordeaux (scène abondante à l'époque), Brest, Paris. Je ne met pas les liens, ils sont faciles à trouver sur YouTube. La scène rock de l'époque était vraiment très inégale d'un point de vue qualité et originalité. Reste quelques bons souvenirs...
Là, il y une mine d'or : http://www.45toursderockfrancais.net/ Collection des 45 tours de l'époque qui nous intéresse avec extrait audio. Classement par année, genre, région... Wizzz. En plus il y a une radioblog.
Je connaissais "45 tours de rock en France" sans avoir remarqué les extraits en écoute ! Le morceau "Le vampire" de Gilles Tandy est ici, avec face B, ce que je crois être une reprise de Hugues Hauffray : "les crayons de couleur".
Wow ! Pas mal aussi le site "French new wave"! Je continue mon trip souvenirs souvenirs : J'étais au lycée avec un des membres de "Picasso Y Los Simios". De mémoire, ils avaient un morceau qui disait :
"Assis sur son bidet Général Pinochet éjacule son lait !"
Wouarf, wouarf, toute une époque !
Comme le gus squattait la programmation musicale de la cafet' de l'école, j'ai eu le droit à mon immersion dans la "French cold wave", genre "Seconde Chambre". J"avoue à ma grande honte ne pas avoir de souvenir de "Dada's noise".
Steph, met des balises à tes liens ce sera plus facile pour la nav'. Tu mets la lettre "a" entre les symboles "<" et ">" devant le lien et "/a" derrière le lien (toujours entre "<" et ">"). Non ça ne me dit toujopurs rien ce titre. There's a hole in my life.
Picasso y los simios ! J'm'étais fait souffler une fille par le clavier. Le guitariste-chanteur (Éric ?) à fait un duo avec une états-uniène, mais je ne me souvient plus du nom. Succès d'estime je crois, avec bonne critique dans les inrocks peut-être. À cete époque là, Dominique Ané chantait dans le trio John Merrick. Et Cauda Draconis faisait des putains de concerts.
Toutes mes excuses aux lecteurs de ce blog, je n'ai écrit que des âneries. Que le Révérend me damne. L'animateur de radio ne s'appelait pas Yannick Pagrismaud mais Patrick Pagrismaud et son émission s'intitulait "Frenchie" et non "Frenchy". Dez Mar, un peu de rigueur dans l'info mordel de berde !
32 commentaires:
je viens de découvrir ton blog, j'adore tes illus!
Merci Majane!
Moi aussi je te kiffe !
Monsieur Tanquerelle, que de belles idées, que de belles images, vos moustaches doivent être tellement fières de vous.
Merci Montarzan. Tu me montreras ta grosse pelleteuse, ce week-end?
Cher Aieraspootine,
en effet mes moustaches frisottent de fierté assumée. Ça chatouille.
Ma pelleteuse, ma grue, mon bob le bricoleur ... tout est à toi !
ce blog est en train de se transformer en "3615, Tnaquerelle de Brest" !!!
Fredo la Nantaise
La Colette Veyrinas, j'aimerai pas l'avoir comme prof de musique. L'harmonium ne doit pas rire à la messe d'onze heure.
Conas Veyrilette mise à part, si on parlait de R'n'R.
"Joe Strummer : the future is unwritten" : le parfait mode d'emploi à l'usage des apprentis rockstar sur les écrans de ciné depuis hier.
Heureusement que Strummer n'est pas mort après Combat Rock, sinon nous n'aurions gardé de lui que l'image d'un sale con prétentieux. La paternité, l'âge et les vestes qu'il s'est prises avec les critiques lors de ses créations post-Clash, lui ont permis de prendre du recul par rapport à lui et son entourage et de nous livrer quelques pensées bien utiles à l'attention des musiciens et autres humains dont l'ego gonfle un peu trop (Je me demande si Manu Chao à vu le film).
Poseur, orgueilleux, égocentriste et j'en passe. Il faut du tempérament pour vivre une vie comme la sienne. Et il aura participé à bousculer le rock pour qu'il ne meurt pas trop vite. Ceux qui ne sont pas joisse n'avaient qu'à l'envoyer se faire foutre.
Quelques infos sur le film :
Paul Simonon n'est pas interviewé.
Tymon Dogg y est assez présent (archive et interview).
Bono (de U2) s'écoute toujours autant parler.
Certaines images ne sont pas inédites (extrait de Westway to the world entre autre).
Il y a un "papier" à cet endroit là :
http://www.davduf.net/Joe-Strummer-the-future-is.html
un autre ici :
http://cultureetloisirs.france2.fr/cinema/critiques/32499150-fr.php
le site officiel est là :
http://www.joestrummerthemovie.com/
P.S. : A la fin du film, un gussse à applaudi suivi par la moitié de la salle. Ce matin, je ne comprends toujours pas pourquoi. C'est un documentaire, juste la bio d'un mec...
P.S. : Ma seule expérience du Clash en chair et en os se résume au concert du Clash (mark two) au festival Rockscène en 1985 avec un Strummer qui n'avait été capable que de sauter dans l'espace entre scène et public (3 à 5 métres de no man's land sécuritaire) et infoutu de remonter sans l'aide du service d'ordre. A chier. Mais bon, mon état étant passablement altéré par force caramel THCéisé et boissons houblonnées, peut-être que le concert était bien.
Les Ramones avaient annulé leur venu à la dernière minute. Sale année pour le punk.
Résultat des courses, il ne restait que : Depeche Mode (qui jouait à pousse bouton derrière leur machine), Midnigt Oil, Fixed Up (qui remplaçait les Ramones), Léonard Cohen, The Fuzztones, Spear of Destiny et peut-être d'autres groupes. Et un max de came !
Bon, vous l'aurez compris mes amis. L'homme qui se cache sous le nom mystérieux de Dezertik Marsiann n'est autre que Philippe Manoeuvre. Eh oui, c'est un vieil ami à moi.
En tout cas mon philou, merci pour toutes ces informations. Je compte bien aller le voir la semaine prochaine avec un autre pote qui habite dans le coin: Bob Dylan.
Salut les kids!
Philippe Manœuvre ! Arrrgh c'te ringard avec son perf'. Pourquoi pas un ciré Cotten avec un keffieh quand t'es pas pêcheur en Palestine ?
Bonne journée quand même.
je suis un peu d'accord avec frédo
tu pourrai pas faire plusieurs blogs 36 15 pour qu'on s'y retrouve?
36 15 jeune
36 15 vieux
36 15 à moustaches
36 15 je casse du sucre sur mes collègues
etc....etc.....
Avec entrée obligatoire dans chaque endroit pour pas que chacun essaie de comprendre ce qui est incompréhensible
bon, ce que j'en dis..
beaupe
ou en hommage à Colette, un 36 15 in Vinas Veyrinas
Cher Dezertik Marsian,
C'est rigolo, les Fixed Up, les City Kids (mentionnés sur ton profil) sont des groupes dont je n'ai plus entendu parler depuis le milieu des années 80. J'étais lycéen, à Nantes et j'écoutais alors une émission de radio, le soir, qui passait ces groupes. Je me souviens aussi qu'elle diffusait des concerts enregistés du Faucon Malté à Notre Dame des Monts, fabuleux bar qui n'existe plus. C'était hyper excitant, j'avais l'impression que nous étions une dizaine de personnes à écouter cette émission. Est-il possible M. Dezertik Marsian, que tu étais l'un de ceux-ci ?
Mais oui, mon cher Stéphane! Philippe Manoeuvre écoutait la même radio que toi. Et il allait écluser des litres de bière au Faucon Malté tandis que tu révisais tes leçons (en chantant, comme Sardou)
Dis lui Philou, que c'est vrai ce que je dis, dis-lui.
Oui !
Oui à tout !
> Steph. Oiry
Si l'émission dont tu parles était :
- diffusée le lundi soir sur Radio Atlantic ;
- animée par un mec qui ne savait pas faire une phrase correcte ;
- que ledit mec se faisait surnommer Frenchy (à moins que ce ne soit le nom de l'émisision... ou les 2) ;
- que ledit mec était accessoirement "manager" des Flamingos ;
- que la technique était assurée par No Future (techno son de chez Melpo si mes souvenirs sont bons) ;
- que seuls les groupes français étaient diffusés ;
alors oui nous écoutions la même émissions.
Par la suite le paysage sonore s'est élargi et il y a eu 1 ou 2 chroniqueuses : Zabo (brune) et ??? (blonde). Elle(s) présentai(en)t des groupes américains (The Del Fuegos, Guadalcanal Diary, Los Lobos...) par ville (genre Athens, Géorgie...).
L'émission était tellement mal branlée qu'on ne pouvait pas imaginer qu'il y ait plus de 10 boutonneux à l'écouter.
En fait, j'ai par la suite rencontré beaucoup de personnes qui n'en rataient aucune diffusion. Et pas spécialement des personnes branchées rock français.
En fait il n'y avait pas de style particulier ; si c'était français ça passait dans l'émission.
On aura donc découvert Indochine et "L'aventurier" au moins un an avant tout le monde ;). C'était branchaga à l'époque.
Les groupes du label Reflex, qualifiés de nouvelle variété à l'époque (Les Bandits de Christine Lidon - qui depuis écrit pour David Halliday entre autre, Les Desaxés, Les Ablettes...), cotoyaient Les Schtauss de Nantes, Les Coronados, Les Olivensteins, Les Dogs de Rouen, Les Thugs d'Angers, Les Nues de Rennes, pleins de groupes de Bordeaux, Oberkampf, Wunderbach, La Souris Déglinguée des trucs keupons à 2 accords... Tous les lundi c'étaient le tour de France du rock.
Ça correspond au tout début de la libéralisation de la bande FM. À l'époque tout était possible. Sur Radio Nantes il y avait une putain d'émission de Hard rock qui avait pour musique de générique la chanson "Rebel rebel" de Bowie.
C'était animé par un certain Renaud qui est par la suite passé par divers autres radio et a fini par être très consensuel. Faut bien gagner sa croûte.
Au moins grâce à lui j'aurai découvert "Ace of spade" de Motörhead.
Putain mais c'est dingue ! c'est exactement ça ! Frenchy, tous les lundis soirs. Je lui dois absolument tout !
La fois où il a passé Indochine, je m'en souviens trop bien, je n'en croyais pas mes oreilles !
Et Renaud aussi je m'en souviens bien, tu parles ! sur Radio Nantes, il passait des trucs infames genre Asia ! Ah ! ah ! ah !
C'est dingue ! jamais je pensais croiser un jour un mec qui écoutait cette émission toute pourrite.
Ben c'est fait.
Et pour peu qu'on énumère la liste des concerts et évènements un tant soit peu (c'est comme ça que ça s'écrit ?) rock'n'roll de cette époque là, et nous découvrirons que nous bûmes des bières dans les mêmes endroits.
Et si tu détestais Dada's Noise je ne t'en voudrais même pas.
Bah, c'est peut-être tout simplement parce que j'ai ensuite bougé sur Strasbourg : peu de chance d'y croiser un auditeur de "Frenchy".
Un morceau a continué à me hanter longtemps : "Le vampire a moins de dents mais il peut mordre comme avant" (Gilles Tandy et les Olivensteins). C'était un peu un comme tube, il le passait toute les semaines, je crois bien.
Et le générique c'était quoi déjà ?
Mais qu'est-ce qu'elle vous a fait, Colette Veyrinas, pour avoir à ce point dévié du post consacré à se petite personne ?
Moi, j'écoutais OUÏ FM sur Paris aux tous débuts et c'était vraiment la classe, un peu comme La voix du Lézard...
OK, je me casse... Bye ! ROCK'NROOOOOOOLL !!!
Fredo
J'ai emballé Colette Veyrinas en 89 au bal des pompiers sur "Still loving you", alors si vous pouviez avoir un peu d'égards pour ma femme, ça m'arrangerait. On est maintenant mariés et tout se passe bien, alors venez pas foutre votre zone, nous sommes un modèle dans notre région. Merci.
Ça ne me dit rien ce titre des Olivensteins. Je me rappelle de "Fier de ne rien faire" et de "1941 sous l'gouvernement d'Pétain.." des mêmes olibrius mais de vampire, point de souvenir.
PUTAIN, c'était quoi déjà le générique ?
C'était pas un gros truc tout naze fait maison ?
J'ai retrouvé le nom de la blonde qui chroniquait. Elle s'appelle (s'appellait) Anne-Aurélie et plus d'un allait s'en jeter un à La Provence pour y jeter un œil.
Le vrai nom de Frenchy, c'était Yannick Pagrismaud. Ça l'est peut-être toujours d'ailleurs. Merci Fredo (pas celui du dessus, un autre) pour l'info.
Désolé si on te snobe Colette, mais c'est sympa les discussions dans la sacristie du Révérend.
On trouve peu de traces sur Internet de cette scène « garage » du milieu des années 80. Oubliés, ces losers qui chantaient un anglais approximatif. La déferlante alternative a recouvert ce terreau pourtant fertile. Un très beau document, ici :
http://www.youtube.com/watch?v=yG2sais-Juo&mode=related&search=
Où on reconnaîtra Stéphane Saunier (Celui qui dit « pas de poseur parmi nous »), futur programmateur pour Canal +.
Deux labels de référence, Closer et NewRose :
http://www.kingautomatic.com/fourdu/closer.html
http://www.limbos.org/newrose/
Et un zine à Toulouse, Nineteen (pas d’url).
Un tour sur google : il existe un Yannick Pagrismaud, en région nantaise, marionnetiste, serait-ce le même ?
Terrible ce documentaire. Ils ont un putain d'accent dans le coin.
On a l'impression que les deschiens font le doublage.
Dis-donc le stéphane Saunier c'était un p'tit nerveux.
Le elvis de la fin est pas mal aussi.
À ma connaissance, le Yannick Pagrismaud marionettiste n'a rien à voir avec "Frenchy".
Dans la même lignée que le documentaire sur le rock au Havre, il y en a sur Bordeaux (scène abondante à l'époque), Brest, Paris. Je ne met pas les liens, ils sont faciles à trouver sur YouTube.
La scène rock de l'époque était vraiment très inégale d'un point de vue qualité et originalité. Reste quelques bons souvenirs...
Là, il y une mine d'or :
http://www.45toursderockfrancais.net/
Collection des 45 tours de l'époque qui nous intéresse avec extrait audio. Classement par année, genre, région... Wizzz.
En plus il y a une radioblog.
Une autre mine d'or :
http://www.french-new-wave.com/news.php
Avec radio aussi. Quel pied de pouvoir réécouter Les Fils de Joie.
Et comme j'ai un faible pour les Olivensteins, voici un document video qui "à d'la gueule".
Je ne suis pas très TV, qui est le gusse cravaté ?
Je connaissais "45 tours de rock en France" sans avoir remarqué les extraits en écoute !
Le morceau "Le vampire" de Gilles Tandy est ici, avec face B, ce que je crois être une reprise de Hugues Hauffray : "les crayons de couleur".
http://www.45toursderockfrancais.net/rockfrancais/gillestandy45t.htm
(Dezertik, tu as oublié le lien vers la vidéo des Olivensteins)
Wow !
Pas mal aussi le site "French new wave"!
Je continue mon trip souvenirs souvenirs : J'étais au lycée avec un des membres de "Picasso Y Los Simios". De mémoire, ils avaient un morceau qui disait :
"Assis sur son bidet
Général Pinochet
éjacule son lait !"
Wouarf, wouarf, toute une époque !
Comme le gus squattait la programmation musicale de la cafet' de l'école, j'ai eu le droit à mon immersion dans la "French cold wave", genre "Seconde Chambre".
J"avoue à ma grande honte ne pas avoir de souvenir de "Dada's noise".
Le lien vers la vidéocumentaire des Olivensteins :
http://fr.youtube.com/watch?v=f1zlB6ao0U8
Steph, met des balises à tes liens ce sera plus facile pour la nav'.
Tu mets la lettre "a" entre les symboles "<" et ">" devant le lien et "/a" derrière le lien (toujours entre "<" et ">").
Non ça ne me dit toujopurs rien ce titre. There's a hole in my life.
Picasso y los simios ! J'm'étais fait souffler une fille par le clavier.
Le guitariste-chanteur (Éric ?) à fait un duo avec une états-uniène, mais je ne me souvient plus du nom. Succès d'estime je crois, avec bonne critique dans les inrocks peut-être.
À cete époque là, Dominique Ané chantait dans le trio John Merrick.
Et Cauda Draconis faisait des putains de concerts.
Pour Dada's Noise, t'as rien raté.
Toutes mes excuses aux lecteurs de ce blog, je n'ai écrit que des âneries. Que le Révérend me damne.
L'animateur de radio ne s'appelait pas Yannick Pagrismaud mais Patrick Pagrismaud et son émission s'intitulait "Frenchie" et non "Frenchy".
Dez Mar, un peu de rigueur dans l'info mordel de berde !
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